L'UFLF 88 alerte contre les dangers de la vaccination généralisée contre les papillomavirus

Comme nombre d'associations et de collectifs en France, l''Union Fait La Force 88 lance un signal d'alarme après l'annonce d'une campagne de vaccination généralisée contre les papillomavirus, dans les collèges pour les élèves de 5e dès la rentrée 2023.

Cette annonce a été faite le 28 février dernier au sein du collège de Jarnac par le président de la république Emmanuel Macron : "La vaccination qui sera accessible à tous les collégiens, filles comme garçons, dès la classe de 5e, doit permettre d'augmenter la couverture vaccinale et de prévenir contre l'infection qui est responsable de 6 000 nouveaux cas de cancers et de 30 000 lésions précancéreuses du col de l’utérus chaque année. À partir de la rentrée de septembre 2023, les collégiens, en classe de 5e, pourront se faire vacciner gratuitement pour assurer une meilleure protection contre les cancers liés aux papillomavirus humains (ou HPV : Human Papilloma Virus). Un accord parental sera nécessaire et la vaccination ne sera pas obligatoire" précise le gouvernement sur le site service-public.fr.
 
Dans une lettre ouverte (à lire ici sur Twitter), l'UFLF 88 dénonce notamment les effets secondaires du vaccin, s'appuyant sur des cas en France et à l'étranger, et l'exemple des vaccins contre le Covid-19 : "Beaucoup de nos concitoyens souffrant d’effets indésirables se rendent compte de la manipulation car toutes les pharmacovigilances dans le monde entier témoignent de millions de personnes souffrant d’effets secondaires". Le collectif a d'ailleurs participé samedi dernier à la journée mondiale d’hommage aux victimes d’effets indésirables de l’injection anti-covid, à la veille du décret du gouvernement autorisant le retour des personnels soignants non-vaccinés, effectif depuis de lundi.

Photo : archives Vosges Tv